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| | | REVOLUTION #6 - BROCK LESNAR VS. RANDY ORTON |  |
| | | Auteur | Message |
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Bret Hart
Messages : 280
Date d'inscription : 15/01/2013
Age : 66
 |  Sujet: REVOLUTION #6 - BROCK LESNAR VS. RANDY ORTON  Mar 26 Mar - 22:16 | |
| Lorsque deux fous se rencontrent, autant dire que cela fait des étincelles. | |
|  | | Morrigler.
Messages : 711
Date d'inscription : 24/02/2013
Age : 28
| | Sujet: Re: REVOLUTION #6 - BROCK LESNAR VS. RANDY ORTON Mer 27 Mar - 22:39 | |
| Retour dans un contexte un peu plus posé, un peu plus calme pour Randy Orton. Un ring, des fans, un stade. Bref, un contexte in-ring.
 Randy Orton – Une défaite physique.Le public conspue le lutteur.Randy Orton – Une victoire psychologique.Un blanc survient après cette déclaration.
Randy Orton – Vous pensiez réellement que ma défaite sur le papier était une défaite subie contre mon gré ? Sachez une chose, je maîtrise toute la situation. Ce n’est pas un faux pas anodin, c’était un faux pas subi volontairement, c’est un faux pas calculé. Quel aurait été mon intérêt, pour un lutteur de mon calibre, de gagner et de détruire Shad Gaspard, un homme qui aura connu et connaitra encore désillusions sur désillusions. Je suis un destructeur, mais surtout, je choisis mes victimes, je décide qui passera entre mes griffes et personne d’autre ne peut le faire à ma place. Détruire dans le silence, n’y a-t-il rien de plus frustrant. Je me bats contre l’adversité, Shad n’était pas un adversaire. Ma défaite, je l’ai choisi, c’est une stratégie psychologique, une stratégie contre un adversaire que j’ai choisis ! Un adversaire que je veux voir meurtri dans mes bras !Dédicace à Freddy qui voulait voir Orton dans mes speechs !Randy Orton – Il y a deux solutions pour affaiblir son adversaire. Le faire craquer psychologiquement en lui retirant tout ce qu’il y autour de soi pour en faire un être seul et sans défense ou bien paraitre soi-même faible pour mieux le prendre en surprise. Je sais déjà ce que Brock Lesnar pensera de moi, un homme qui n’a connu qu’une victoire ici, il comparera mon côté destructeur à son côté destructeur pour me mettre à mal, pour me décrédibiliser. Et il sera rentré dans mon plan, ma stratégie. Je ne serais pas inquiétant pour lui, je serais un lutteur comme un autre, il ne verra que le côté du Randy Orton perdant, laissant de côté toute l’inquiétude et la peur que je devrais logiquement produire. Sachez une chose, on se surpasse dans l’adversité, on se laisse aller dans la facilité. Au Tennis, le 53ème mondial jouera le match de sa vie contre Novak Djokovic et jouera tranquillement face au 154ème mondial. Le schéma ici est le même, et tout est calculé, je ne laisse rien au hasard, je contrôle tout ce qu’il se passe autour de moi, sachez-le une bonne fois pour toute.Malik, un commentaire !Randy Orton – Une brute épaisse, un mâle dominant, un monstre, les adjectifs à son encontre sont nombreuses. Et je dirais qu’il résume tout à fait mon adversaire. Il rentre dans le tas, mais ne réfléchit pas. Chacun de ses actes est conduit par la motivation suivante : Frapper. Il n’y a aucune logique qui vient derrière, aucune cause, seulement l’objectif de détruire son adversaire. Et la grande différence avec moi réside ici. Je ne détruis pas dans le simple but de détruire. Je réfléchis, j’examine, je détruis autour du personnage pour l’achever plus facilement. J’ai une position plus réfléchis et donc bien entendue, plus intelligente. Quand Brock viendra se jeter sur moi dans le simple but de me détruire, j’aurais examiné les choses pour le contrer et le prendre par surprise. WHO IS YOUR HERO ?Randy Orton – Je vais surprendre beaucoup de monde, mais Brock Lesnar n’a jamais été un grand destructeur, il n’a jamais été un monstre éliminant tout le monde devant son passage. Tu te considère comme une machine Brock ? Moi je pense au contraire que tu n’es qu’un humain comme tout le monde, un humain avec ses faiblesses, ses coups de mou, ses états d’âmes.Qui sait, peut-être que Cédric lit mon speech ? Randy Orton – Est-ce la machine Brock qui a tendu ses majeurs à la suite des huées unanime de la foule qui exprimaient leur mécontentement après ce match considéré comme le plus « mauvais de l’histoire » ? Est-ce la machine qui a craqué et réagit vivement face à cette horde d’insultes, de moqueries à ton égard ? C’est la machine destructrice ou l’homme blessé par la vérité ? Est-ce la machine ne laissant transparaitre aucun sentiment ou l’homme déçu d’avoir participé à ce match ayant humilié le business ? Brock, le message que tu veux faire passer à tes adversaires n’est qu’un message pour qu’on te craigne, un message pour qu’on ait peur de toi, mais n’oublies pas une chose, j’examine l’adversaire. Ton message ne passe avec moi. J’ai affronté des adversaires bien plus inquiétant que toi, j’ai affronté des Kane, des Undertaker, des Big Show, j’ai déjà gagné contre chacun d’entre eux, j’ai plongé le Deadman dans un long coma. Qui es-tu Brock ? Pourquoi aurais-je peur de toi ? Pourquoi devrais-je te craindre ? Tu n’es qu’un adversaire parmi tant d’autres. Non, je ne te crains pas, et je me battrais contre toi avec la même hargne, la même détermination et la même violence qu’avec tout mes adversaires.Je n’aime pas les turcs.Randy Orton – A la suite de cela, tu as voulu te racheter avec une carrière dans le football Américain. Et une nouvelle fois, tu n’as pas réussi à percer. La NFL ne voulait pas de toi. Toi, le monstre, toi la machine, tu n’avais pas le talent pour percer dans ce sport. Après les états d’âme de l’humain, laissons place maintenant aux échecs de l’homme. Echec professionnel comme chaque humain a connu dans sa carrière. Mais dis moi Brock, la machine n’est-elle pas, par définition, parfaite ? N’est-elle pas par définition infaillible ? Pendant ce temps, Panik fait la cuisine. Et la cuisine du Québec, ce n’est pas trop ça !Randy Orton – Passons au troisième échec peut-être ? Après avoir quitté la WWE pour des états d’âmes, après avoir quitté sa carrière de football américain dû à un manque de niveau flagrant, tu t’es lancé au Japon, des débuts prometteurs, un titre de champion gagné rapidement. Tout cela semblait prometteur. Puis Kurt Angle est arrivé, ton dernier combat. Après avoir affronté des nippons dénué de talent, tu affrontais enfin quelqu’un de renommé, c’était l’opportunité pour toi de démontrer aux yeux de tous que tu avais bien fait de quitter la WWE, c’était l’opportunité pour toi de mettre un doigt d’honneur à tout tes détracteurs ? Résultat ? Victoire par abandon. Perte du titre. La machine s’est cassé, la machine a abandonné l’homme, le laissant seul face à la souffrance physique et morale. Brock Lesnar abandonnait. J’écris ses mots le jour de l’anniversaire de Pra’, la classe. Randy Orton – Et tous ces échecs se suivent et se ressemblent. Entre la défaite contre Franck Mir, revenant de blessure, par abandon, pour son premier match. Entre sa blessure au foi, drôle de mésaventure pour une machine, tes multiples défaites sur ta fin de l’aventure à l’UFC, tes retours ratés à la WWE où tu perds lamentablement contre John Cena, diminué et en manque totale de confiance. Tout cela pour dire que, Brock, entre tes propos et tes actes durant toute ta carrière, il y a un véritable fossé. J’aurais très bien pu rentrer dans ton jeu, et être emporté par la peur et la crainte de me voir face à toi, mais je te connais que trop bien pour savoir que tout cela n’est qu’une image que tu entretiens. Tu n’es pas une machine Brock, tu n’es qu’un simple homme, et je le prouverais aux yeux de tous Lundi, je prouverais que Brock Lesnar connait aussi échec et désillusion dans sa vie. Je prouverais que toutes tes pseudos destructions faites à des lutteurs inconnus, ne sont que peu impressionnante et que face à l’adversité, tu te met à genou. Tu as posé pied à terre face à Goldberg, tu as posé pied à terre face à la NFL, tu as posé pied à terre face à Franck Mir, face aux blessures que la vie nous prépare, tu as posé pied à terre face à Triple H et tu poseras une nouvelle fois pied à terre face à moi, face à une personne meilleur que toi. Je ne savais pas quoi dire sur Paul, donc je ne dirais qu’un mot : troll.
Randy Orton – Brock, contrairement à toi, je n’ai jamais posé un pied à terre face à l’adversité, j’ai toujours été au top pendant toute ma carrière, j’ai toujours été sous les feux des projecteurs, ayant affronté les meilleurs, toutes générations confondus. Et même si tu semble probablement croire que je te crains en ce moment-même, sache que tu n’es qu’un de mes nombreux obstacle de mon ascension. Des obstacles que j’élimine stratégiquement, un par un. Je n’ai pas peur de toi, je n’ai pas de respect pour toi, je n’ai comme seul exemple, Satan. Styl écoute en ce moment même l’internationale.Randy Orton – Malheureusement Brock, tu as tellement voulu te préserver cette image de brute que tu t’es longtemps fait accompagné d’un manager, comme tout big men stéréotypés. Cet homme qui détruisait, laissant la réflexion et la parole à un homme plus doué pour cela. Tu voulais te démarquer Brock, et finalement, tu étais comme les autres. Comme toutes ces pseudos-brutes, pas plus intelligent, pas nécessairement plus puissant. Tu étais cet homme lambda, qui venait, qui faisait du bruit, qui repartait. Comme l’ont fait avant des Kane, des Undertaker, des Big Show mais aussi des Great Khali, des Mason Ryan, des Ryback. Tu te dis être « le seul Brock Lesnar sur cette planète », moi je pense à l’inverse que vous êtes nombreux à agir de cette manière, à croire que par le bruit, on devient des monstres, que par le bruit, on devient talentueux. Comme je l’ai dis à Shad, on ne devient pas talentueux, on l’est, on ne devient pas lutteur, on l’est. Salut Syphon !
Randy Orton – Brock, on t’a vendu auprès de moi comme un coriace adversaire. Mais comme je viens de te le prouver, tu n’es qu’un modeste adversaire. Tu es un homme, un homme qui aura tout tenté pour devenir une légende, mais qui, par excès de sentiments, d’états d’âmes, tu ne seras devenu qu’une simple star d’hier. Tu n’es plus rien Brock, tu n’es plus crédible. Le business t’a trouvé des remplaçants, ils t’ont trouvé des Mason Ryan, des Ryback, toi tu n’es qu’une idole d’hier, un ex futur crack. Moi, je suis toujours au top, depuis près de dix années, j’enchaîne les succès, les titres, la gloire. Toi tu enchaines les faux retours au sommet, les désillusions, les échecs. Brock, lundi, ce ne sera pas une confrontation violente, une confrontation hardcore, une confrontation de destructeur mais seulement une confrontation entre un homme au sommet, et un homme qui n’est plus au sommet.  Randy Orton – Lundi, tu seras ma victime, une victime comme les autres.Dernière dédicace à mon adversaire, Lucas, heureux d’avoir speeché contre toi, ce fut un plaisir ! | |
| | | | #HCTP.
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Date d'inscription : 24/01/2013
| | Sujet: Re: REVOLUTION #6 - BROCK LESNAR VS. RANDY ORTON Dim 31 Mar - 14:30 | |
| C'est pendant un house show organisé par la GWC que nous nous retrouvons. Deux équipes d'hommes s'affrontant pour un contrat dans la fédération se battent : the Briscoes vs. Ted DiBiase & Cody Rhodes. Le match commence mal pour ces deux derniers qui se font dominés mais leurs fourberie leur permet de reprendre le dessus et de gagner le match. C'est fait. Pour eux, les portes de la GWC s'ouvre. Ils exultent dans le ring. C'est alors qu'une musique retentit et vient tout de suite les calmer. Brock Lesnar arrive. Et c'est comme un animal qu'il arrive. Regard habité, il fait quelques pas sur la rampe, exécute ses petits taunts habituels et marche lentement, sûrement vers le ring, toujours avec ce même regard inquiétant. Ted et Cody se regarde et mette rapidement un plan en place. Brock s'arrête au milieu de sa route et sourit à ce qui semble être ses deux prochaines victimes. Il court alors rapidement dans le ring et fonce sur DiBiase et Rhodes. Il n'a pas le temps de se relever qu'un travail d'équipe se fait sur lui mais sa puissance lui permet de dégager Rhodes et de donner une droite monumentale dans la mâchoire de Ted qui s'écroule. Cody tente de revenir rapidement mais se prend un violent F5. Le même sort est réservé à DiBiase qui était toujours sonné par la droite que lui avait asséné la bête quelques secondes auparavant. Lesnar sourit. Il semble être plus que satisfait de lui-même et se débarasse de ses deux victimes comme s'ils n'étaient rien, de vulgaires chiffons. Il se pavane un certain temps dans le ring avant de prendre la parole. Brock Lesnar.Ces deux là ne seront pas de la compétition à la GWC aujourd'hui, non. Je viens de prouver que l'on peut se battre aussi fort qu'on le veut, cela importe peu lorsque Brock Lesnar a décidé de charger sur vous. Avez-vous vu la peur dans leurs regards ? C'est ce que je vois dans le regard de chacune de mes victimes. Leur douleur est incomparable. Mais cette punition, ils ne me la doivent pas. Ils ne la doivent qu'à un homme, un seul et ce n'est pas moi. Ils ne doivent cette punition qu'à Randy Orton.Visage fermé, il continue son petit discours.Brock Lesnar.J'ai appris lors du dernière show, à mon plus grand amusement, que Randy Orton serait mon adversaire. Je connais cet homme. Il préfère s'attaquer aux proches des autres, à ce qui leur tient à coeur pour pouvoir les toucher plus facilement. Mais dîtes-moi, qui peut-il donc toucher avec moi ? Personne. Je n'ai d'yeux que pour une seule et unique personne : Brock Lesnar. Il aura sans doute chercher quelqu'un, mais en vain. Il ne peut pas m'atteindre psychologiquement, comme il aime tant le faire. Je n'ai pas de sentiments. Je ne fais pas dans le sentiments. L'atteinte psychologique est la fondation même de ses attaques les plus brutales. Preuve en a été Rey Mysterio. Mais comment compte-t-il bâtir une attaque s'il n'a pas sa base ? Ses fondations ? Son plaisir ne réside pas dans la douleur et la souffrance physique, celle que j'affectione particulièrement, celle que je vois sur le visage de tous mes opposants. Son plaisir, sa confiance se dessine dans la souffrance psychologique de ses opposants. Il n'aura rien de tout cela avec moi, il n'aura aucun coup d'avance, il n'aura pas ce qui lui permet systématiquement d'avoir l'ascendant. Il va se faire démolir. Par ailleurs, j'ai décidé de lui faire goûter à son propre traitement en décimant deux de ses anciens louvetaux, si je puis dire. As-tu vu ça, Randy ? Brock Lesnar.Qu'est-ce que cela te fait de voir que deux lutteurs étant passé sous ton coaching viennent de se faire détruire sans même qu'ils puissent y faire quelque chose ? Le coaching, c'est pourtant quelque chose que tu connais. Pendant toute ta carrière, on t'a tenu la main Randy. Ton premier titre mondial est taché de la présence de l'Evolution et après qu'ils t'aient lâchés, tu perds le titre après ta première défense. Lorsque tu étais au fond du gouffre, que personne ne pensait plus à toi, tu gagnes un nouveau titre... Par équipe. Un titre que tu as gagné en te reposant sur ton adversaire. Ta victoire au royal rumble est tachée par la protection que t'a offerte ces deux clampins que je viens de détruire. Tu t'es ensuite retrouvé seul et alors, l'enthousiasme autour de toi s'est estompé. Tu n'étais plus vu comme une force sur laquelle il faut compter. Sans les autres, sans assistance, si on ne te tient pas la main, tu t'écroules et tu n'es plus rien du tout, Randy.On continue.Brock Lesnar.Et tu le sais très bien. Quand tu n'avais plus aucun lutteur qui voulait de toi, tu t'es lâchement tourné vers un public que tu insultais copieusement, que tu détrivais et que tu dénigrais. Tu as toujours besoin du soutien de quelqu'un et quand tu n'avais plus personne pour sauver ton cul, surveiller tes arrières, tu t'es tourné vers les fans pour avoir du réconfort. Tu t'es tourné vers les fans pour avoir quelqu'un qui te soutient. Une nouvelle preuve que tu as besoin des gens pour t'en sortir. Une nouvelle preuve que tu as besoin d'être assisté et que tu ne t'en sors pas sans une quelconque assistance. Ici-même, au sein de la GWC, tu te détaches de tout le monde. Tu arrives à te débarasser d'un petit homme faible, fébrile, âgé et qui n'a plus rien à offrir au combat. Mais quand tu débarques devant un homme puissant, fort et qui ne demande rien de mieux que de combattre, tu te fais battre lamentablement. Faible, Randy. Tu es faible. Tu tombes face à moi. Un homme cherchant la destruction partout et cette fois, je cherche à te détruire, Orton.Destruction.Brock Lesnar.Personne n'a d'ailleurs noté ton changement de comportement si rapide. Avant d'arriver à la GWC, tu étais ce lutteur adoré de la foule, acclamé par beaucoup. Tu arrives ici et subitement, tu veux redevenir le grand méchant Randy. Ce n'est pas à Capitulation que tu as changé de comportement, mais bien en arrivant ici. Qui es-tu, Randy ? Tu te fais passer pour un psychopathe sans sentiments, mais ce n'est jamais qu'un rôle que tu te donnes. Changer de personnalité comme de chemise, c'est un signe de fausseté. Tu n'es pas sincère, honnête, tu essayes de déstabiliser les gens, de les tromper et en même temps, tu te trompes toi-même et tu te perds toi-même. Tu ne sais pas qui tu es, tu te cherches et dans 2 mois, tu seras un tout autre homme car tu auras trouvé une nouvelle personnalité qui te plaît. Ridicule. Tu es ridicule, Randy. Une vraie blague. Mais je n'aime pas les blagues. J'y coupe court très rapidement et ce sera le cas avec toi. Ce n'est qu'une question de temps, Randy. Une question de temps. Brock Lesnar.Et qu'en est-il de ce Rey Mysterio ? Ta dite victime ? Bravo. Tu l'as fait partir sur civière. Une attaque que l'on a qualifié de sauvage, d'agressive, de dangereuse, de brutal, d'animal. Des adjectifs me qualifiant moi et et mes attaques. Mais malheureusement, il ne peut y'en avoir qu'un pour cette place d'animal. Outre le fait que ce ne soit qu'un putain de rôle pour toi et qu'en ce qui me concerne, c'est tout ce qu'il y'a de plus réel, le meilleur prend la première place. Le meilleur, c'est moi. Tu prends tout un match pour faire abandonner Rey Mysterio et ensuite le mettre KO, je prends moins de cinq minutes pour décimer Austin Aries, le faire craquer et le faire abdiquer. Je prends moins de deux minutes pour détruire deux petits crétins étant passés dans tes mains. En d'autres termes, c'est moi le roi de la destruction. Tu fais tout ce que je fais en plus de temps, avec moins d'efficacité et surtout... Avec moins d'impact. On attend mes offensives, tout le monde est aux aguets lorsque je suis là et tout le monde est encore surpris de ce que je fais. Avec toi, les gens assistent mais ils n'ont pas peur. Ils n'ont pas attendus cette attaque. Ils sont juste dégoûtés. Tu dégoûtes les gens, Randy. Tu ne leur fais pas peur. Tu n'es qu'un insecte que l'on aurait préféré ne pas voir et je t'écraserai.On reprend après une petite pause.Brock Lesnar.Randy, si tu crois être en eau sainte ici, tu te trompes. Bret Hart ne m'a pas puni en te désignant comme mon adversaire. Dans ses propres mots, Bret a dit qu'il me mettait face à quelqu'un qui aurait, lui aussi, pu être puni pour ses agissements envers un lutteur. Qu'en conclues-tu, Randy ? Je vais te dire ce qu'il faut en conclure. Il faut en conclure qu'il a toujours en travers de la gorge cette attaque contre Rey Mysterio et qu'il veut te la faire payer. Quel meilleur moyen de te faire payer ça qu'en t'opposant à la machine de guerre que je suis ? Il n'y en a pas. Hart n'oserait pas me punir. Il sait ce dont je suis capable et c'est aussi pour cela que l'on se fait face lors de ce sixième show. Il veut te faire regretter tes actions. Il veut que tu aies mal. Et pour faire mal, il n'y a personne d'autre de mieux placé que moi. Je suis le maître de la douleur. Je suis celui qui aime faire mal, celui qui aime voir le masque de la douleur sur le visage de ses opposants. Je l'ai fait savoir à tout le monde, Bret n'est pas passé à côté de ça et nous voilà en un contre un, mon petit Randy. Je ne suis pas un héros. Je ne suis pas un sauveur. Je ne te martyriserai pas pour venger Mysterio. Je le ferai pour mon propre plaisir. Je le ferai car je suis une machine de guerre. Je le ferai car c'est ce que je fais de mieux. Brock Lesnar.I'm not a superstar. I'm an ass-kicker. I am... Brock Lesnar.Brock a terminé avec son discours. Il lance un long regard vers la caméra, comme s'il regardait Orton et quitte le ring. Il prend soin de donner un coup de pied aux deux hommes, toujours au sol, dehors et s'en va. Nous, on se donne rendez-vous pour le sixième show. | |
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